Citations nazies
Adolf Hitler :
"La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.
Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empéchés."
Adolf Hitler, 28 août 1942, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, vol. 2, 1954, p.297.
"Le paysan doit savoir ce que l'Eglise lui a dérobé : l'appréhension mystérieuse et directe de la Nature, le contact instinctif, la communion avec l'Esprit de la terre. C'est ainsi qu'il doit apprendre à haïr l'Eglise. Il doit apprendre progressivement par quels trucs les prêtres ont volé leur âme aux Allemands. Nous gratterons le vernis chrétien et nous retrouverons la religion de notre race. C'est par la campagne que nous commencerons, et non par les grandes villes !"
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), page 99.
"Quant aux autres, je n'ai pas besoin d'eux, Je vous garantis que, si je le veux, j'anéantirai l'Eglise en quelques années, tant cet appareil religieux est creux, fragile et mensonger. Il suffira d'y porter un coup sérieux pour le démolir. Nous les prendrons par leur rapacité et leur goût proverbial des bonnes choses. Je leur donne tout au plus quelques années de sursis. Pourquoi nous disputer ? Ils avaleront tout, à la condition de pouvoir conserver leur situation matérielle. Ils succomberont sans combat. Ils flairent déjà d'où souffle le vent, car ils sont loin d'être bêtes. Certes, l'Eglise a été quelque chose autrefois. A présent nous sommes ses héritiers, nous sommes nous aussi une Eglise."
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 95-96.
"Je leur arracherais du visage leur masque de respectabilité. Et si cela ne suffit pas, je les rendrais ridicules et méprisables. Je ferai tourner des films qui raconteront l'histoire des hommes noirs. Alors on pourra voir de près l'entassement de folie, d'égoïsme sordide, d'abrutissement et de tromperie qu'est leur Eglise. On verra comment ils ont fait sortir l'argent du pays, comment ils ont rivalisé d'avidité avec les juifs, comment ils ont favorisé les pratiques les plus honteuses. Nous rendrons le spectacle si excitant que tout le monde voudra le voir et qu'on fera de longues queues à la porte des cinémas. Et si les cheveux se dressent sur la tête des bourgeois dévots, tant mieux. La jeunesse sera la première à nous suivre. La jeunesse et le peuple."
Hermann Rauschning : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 95-96.
"L'Eglise catholique, c'est une grande chose. Ce n'est pas rien pour une institution d'avoir pu tenir pendant deux mille ans. Nous avons là une leçon à apprendre. Une telle longévité implique de l'intelligence et une grande connaissance des hommes. Oh ! ces ensoutanés connaissent bien leur monde et savent exactement où le bât les blesse. Mais leur temps est passé. Du reste, ils le savent bien. Ils ont assez d'esprit pour le comprendre et pour ne pas se laisser entraîner dans le combat. Si toutefois ils voulaient entamer la lutte, je n'en ferais certainement pas des martyrs. Je me contenterais de les dénoncer comme de vulgaires criminels."
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 95-96.
"Laissons de côté les subtilités. Qu'il s'agisse de l'Ancien Testament ou du Nouveau, ou des seules paroles du Christ, comme le voudrait Houston Stewart Chamberlain, tout cela n'est qu'un seul et même bluff judaïque. Une Eglise allemande ! Un christianisme allemand ? Quelle blague ! On est ou bien chrétien ou bien allemand, mais on ne peut être les deux à la fois. [...] Nous ne voulons plus d'hommes qui louchent vers «l'au-delà». Nous voulons des hommes libres, qui savent et qui sentent que Dieu est en eux."
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 91-92.
"Pour notre peuple, au contraire, la religion est affaire capitale. Tout dépend de savoir s'il restera fidèle à la religion judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié, ou s'il aura une foi nouvelle forte, héroïque, en lui-même, en un Dieu indissociable de son destin et de son sang."
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 91-92.
"Le fascisme peut, s'il le veut, faire sa paix avec l'Eglise. Je ferai de même. Pourquoi pas ? Cela ne m'empêchera nullement d'extirper le christianisme de l'Allemagne. Les Italiens, gens naïfs, peuvent être en même temps des païens et des chrétiens. Les Italiens et les Français, ceux qu'on rencontre à la campagne, sont des païens. Leur christianisme est superficiel, reste à l'épiderme. Mais l'Allemand est différent. Il prend les choses au sérieux : il est chrétien ou païen, mais non l'un et l'autre. D'ailleurs, comme Mussolini n'arrivera jamais à faire de ses fascistes des héros, peu importe qu'ils soient païens ou chrétiens."
Hermann Rauschning * : "Hitler m'a dit", Hachette Pluriel, 1995 (1ère édition 1939), pages 91-92.
- Attention : certains historiens remettent en cause l'authenticité des propos rapportés par Hermann Rauschning (cf la note de l'éditeur de la réédition Hachette de 2005)
Alfred Rosenberg :
« Une fois de plus, le Vatican s’est avéré l’ennemi le plus acharné de la culture de l’homme de valeur pour protéger, conserver et reproduire celui qui en a le moins… Le pape Pie XI déclara […] dans son encyclique sur le mariage chrétien, qu’il n’était pas juste de porter atteinte à l’intégrité du corps des êtres qui étaient aptes à contracter mariage, même s’ils ne donneraient probablement vie qu’à une descendance de valeur inférieure… Vouloir sans complexe laisser naître par "charité chrétienne", des idiots, des enfants de syphilitiques, d’alcooliques, de déments est sans aucun doute un sommet de la pensée contre nature et contre le peuple… Donc, tout Européen qui souhaite voir son peuple physiquement et moralement sain et qui est d’avis que les idiots et les malades incurables ne doivent pas infecter sa nation, est anti-catholique selon les termes de la doctrine romaine et ennemi de la morale chrétienne. »
« Pour les nationalistes Völkisch, l’Etat (ou le peuple) est l’absolu, la valeur suprême et le but. Ici se trouve caractérisé… cet infranchissable abîme qui existe entre l’Allemand et les prétentions d’un mythe étranger… Ce problème touche, jour après jour, les intérêts vitaux de chaque Allemand, et tous, sans exception, devront décider s’ils doivent s’engager en première ligne pour les revendications politiques de l’Eglise romaine ou pour les nécessités allemandes. »
« Le catholicisme est, à côté du judaïsme démoniaque, le second système d’éducation d’espèce étrangère qui doit être vaincu psychiquement et spirituellement, si un peuple allemand, conscient de l’honneur, et une véritable culture nationale doivent naître un jour. »
Joseph Goebbels, ministre de la Propagande et de l’information du IIIe Reich :
« Qu’est-ce que le christianisme aujourd’hui pour nous ? Le national-socialisme est une religion. Il ne lui manque que le génie religieux qui fasse exploser les antiques formules ayant fait leur temps. Il nous manque le rite. Il faut que le national-socialisme devienne un jour la religion d’Etat des Allemands. Mon parti est mon Eglise. » (16.10.1928)
« L’Eglise catholique poursuit son infâme travail d’excitation… Cette prêtraille politisante est, à côté des Juifs, l’espèce la plus odieuse que nous hébergions aujourd’hui encore dans le Reich. Il faudra, après la guerre, résoudre le problème une fois pour toutes. »
« Je suis excommunié de l’Eglise catholique. Crétin de curés ! Je chie sur ces singeries stupides. J’ai coutume de révérer le Bon Dieu à ma façon à moi. » (6.01.1932)
« Pour le moment, le Führer ne veut pas encore intervenir dans la question de l’Eglise. Il préfère n’agir qu’après la fin de la guerre… Il est indéniable que certaines mesures pises par le Parti, en particulier le décret dit du crucifix, ont par trop facilité la propagande des évêques contre l’Etat. Hermann Göring s’en plaint amèrement. Il ne cache pas son opposition aux confessions chrétiennes. Le Führer lui aussi a exprimé le même avis. »
« L’Eglise catholique persiste à se conduire de manière indigne. On me montre une série de lettres pastorales… hostiles à l’Etat. Et cependant nous n’intervenons pas… Nous leur présenterons la facture à acquitter après la guerre. »
Joseph GOEBBELS, Journal (1923-1933), Tome 1, 907 p.